Interview avec Guillaume BIOLLAY
Après une carrière de communicant entre Paris, Lyon et Montréal, Guillaume Biollay fait ses premiers pas dans le monde de l’audiovisuel en 2014, où il occupe les postes de chef de produit puis de rédacteur dans une agence de création de contenus. Entre publicités et films d’entreprise, Guillaume écrit, produit et coproduit des courts métrages de voyage » très » inspirants (Guatemala, Côte d’Ivoire, Norvège, …). Ces clips et montages poétiques lui ont valu 2 récompenses : Lauréat du Festival » Made in Corporate » de Deauville (2016) et le » Prix Empreintes « , décerné par l’Association des agences conseil en communication (2020). Guillaume Biollay est pour la première année juré du festival » Pour Faire Court « .
Guillaume, pourquoi avez-vous accepté d’être membre du jury du festival Pour Faire Court ?
Tout d’abord pour satisfaire ma curiosité pour les nouvelles expériences et parce que je suis très honoré de cette invitation.
Quel est votre rapport au cinéma ?
Dire que je suis un cinéphile de tous les instants ou, à l’inverse, que je suis indifférent au cinéma serait vous mentir. J’aime tout simplement le cinéma sans lui vouer un culte.
Un exemple d’expérience marquante ?
Un tournage insolite en terre viking (Cf : article du magazine Ours en PJ)
Que pensez-vous du thème du festival pour cette 4ème édition ?
L’évasion ou quoi d’autre ? Avec presque une année d’immobilisme mondial et de privation de grands voyages, ce thème s’impose. Un choix qui réchauffe.
Quelles sont vos passions dans la vie ?
La littérature, notamment française, la philosophie, la marche et l’art de l’éloquence.
Que peut-on vous souhaiter pour 2021 ?
Tout simplement de continuer sur mon petit chemin, ce qui suffit à mon bonheur. Par contre, vous pouvez me dire « merde » pour le prix « Com-Ent 2021 », où nous inscrivons un film tourné en Norvège.